Maison d'édition : Penguin
Date de publication : 7 avril 2015
Nombre de pages : 320 pages
Genre : Contemporain
Catégorie : Young-Adult
Tome : One-shot
Prix : Hardback : 16,29 €
Paperback : 8,08 €
Format : Paperback
"Simon Spier, 16 ans, est gay. Personne n’est au courant. Les seuls moments où il est vraiment lui-même, c’est bien à l’abri derrière l’écran de son ordinateur. C’est sur un chat qu’il a « rencontré » Blue. Il ne sait pas grand-chose de lui. Simplement : 1/ Ils fréquentent le même lycée. 2/ Blue est irrésistible. 3/ Il l’apprécie énormément. (Pour être tout à fait honnête, Simon commence même à être un peu accro.) Simon commet alors une erreur monumentale : il oublie de fermer sa session sur l’ordi du lycée. Résultat ? Martin, un de ses camarades de classe, sait désormais que Simon est gay. Soit Simon lui arrange un coup avec sa meilleure amie, soit Martin révèle son secret à la terre entière. Problème réglé ? Pas si sûr..."
À l’origine,
ce roman me faisait terriblement envie. À partir du moment où son adaptation
cinématographique a été annoncée, je me suis mise en tête de me le procurer et
de le découvrir. Moi qui ne suis pas une grande fan de contemporains, j’ai été
agréablement surprise par cette histoire.
Nous
suivons, Simon, un adolescent lambda de seize ans qui développe une relation
par mail avec un garçon nommé Blue dont il ne connaît pas la véritable
identité. Le personnage de Simon m’a complètement touché par sa sensibilité, sa
personnalité, ses erreurs de parcours etc. C’est un garçon qui m’a tout
simplement donné le sourire et beaucoup d’espoir.
L’autrice n’a pas fait l’impasse sur les personnages
secondaires qui m’ont touché autant les uns que les autres. Abby, Leah, Blue,
Nick, la famille de Simon, ont tous une personnalité propre qui nous permet en
tant que lecteur de s’attacher à eux, même s’ils ne tiennent pas le rôle
principal.
Concernant l’intrigue, je l’ai beaucoup apprécié. L’autrice
instaure du rythme à son histoire ainsi que pas mal de péripéties en quelques
mois, ce qui rajoute du réalisme. Becky Albertalli a aussi décidé de traiter de
sujets importants comme le harcèlement, l’homosexualité, la bisexualité, l’amitié…
C’est une histoire feel good dont je suis ressortie avec le sourire et ça m’a
fait beaucoup de bien.
Quant à la plume de l’autrice, elle m’a semblé
fluide, addictive et simple à lire en anglais. C’est un roman que je recommande
chaudement aux débutants en VO anglaise.
Note : 4,5/5
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