lundi 25 décembre 2017

Chronique "Lady Falkenna" (T2) d'Alizée Villemin


Maison d'édition : Lune Écarlate Éditions

Date de publication : 27 septembre 2015

Nombre de pages : 190 pages

Genre : Fantasy

Catégorie : Adultes/Young-Adult

Tome : 2/2

Prix : Ebook : 1,49 euros
          Papier : 16 euros

Format : Ebook

"La curiosité est un démon retors, aux dents acérées. Lady Evelynn Falkenna en est bien consciente, et pourtant elle ne peut s’empêcher de plonger dans les bas-fonds d’un monde en voie d’extinction, aux relents de folie. En ressortira-t-elle indemne ? Pas sûr…"


Mi-novembre, je me suis lancée dans un challenge personnel : finir le plus de sagas possible ! J’ai donc inauguré ce challenge avec le second et dernier tome de la saga « Lady Falkenna » d’Alizée Villemin. Dans l’ensemble, je me suis divertie avec cette lecture mais j’ai pu relever quelques défauts.

J’ai adoré retrouver le personnage de Lady Falkenna, une héroïne au fort caractère & battante. De plus, c’est une jeune femme réfléchie qui ne prend pas des décisions à la légère. Cependant, elle souhaite absolument supporter tous ses malheurs toute seule & elle agit en victime au sein de l’histoire alors qu’elle pourrait être soutenue par ses proches. Par conséquent, elle se plaint assez régulièrement.

Du côté de l’intrigue, on ne s’ennuie pas. L’auteur alterne à un rythme effréné actions, révélations, rebondissements, tout est présent ! La fin est très surprenante et je me suis donc demandé si c’était bien une fin de saga. Néanmoins, j’aurai souhaité ralentir le rythme et que l’on prenne plus de temps pour développer au maximum l’histoire et apprécier le roman, tout simplement. C’est aussi ce que je reproche à l’univers. La rapidité de l’histoire n’amène pas l’auteur à nous expliquer clairement son univers et à l’approfondir. Je n’ai pas forcément tout compris. Les idées sont originales mais nécessitent plus de clarté et de développement.

Pour finir, parlons de l’écriture. Elle m’a semblé fluide et très agréable à lire. Par contre, j’ai trouvé le choix de conjugaison peu judicieux. Alizée Villemin nous parle au présent et c’est très perturbant. J’ai donc eu un peu de mal à me plonger dans l’histoire.


Note : 2,5/5

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