Chronique "Promise" (T1) d'Ally Condie

Promise d'Ally Condie

Tome 1

Maison d'édition : Gallimard Jeunesse

Date de publication : 7 Avril 2011

Nombre de pages : 424 pages

Genre : Dystopie

Catégorie : Young Adult

Tome : 1/3

Prix : Grand Format : 19,50 euros

          Poche : 8,15 euros

Format : Grand Format 

Je pense que ça fait 5 ans que ce roman dort dans ma pile à lire et je me suis enfin décidée à le sortir ! Malheureusement, j'ai trouvé cette dystopie assez moyenne malgré de bonnes idées. 

Nous sommes sur Terre mais dans le futur. La planète est, à présent, dirigé par un gouvernement qui se fait appeler "La Société". La Société gère et organise la vie de tous les habitants de la Terre. Ils décident qui vous allez épouser, où vous allez travailler et quand vous allez mourir. Dans cette histoire, on suit Cassia, une jeune fille ordinaire qui va tomber amoureuse du mauvais jeune homme...

J'ai eu un peu, beaucoup de mal avec cette histoire que j'ai trouvé très moyenne. Le personnage de Cassia est assez agaçant et très naïf et le gros point négatif est qu'elle a énormément de mal à tourner la page. Durant environ une centaine de pages, elle ressasse les mêmes choses sans chercher à comprendre ni agir pour répondre à ses questions et ça créait évidement des longueurs. Malgré une écriture addictive et ma surprise face à cette plume, les longueurs étaient toujours présentes. Au niveau de l'intrigue, je m'attendais à une rébellion face à un gouvernement et finalement, on a le droit à une histoire d'amour impossible sur fond de dystopie. J'ai trouvé dommage que la dystopie soit relégué au second plan car je trouvais l'idée intéressante à exploiter. Et finalement, l'histoire d'amour entre les deux personnages n'est pas exceptionnelle et est assez superficielle.  

En bref, une héroïne agaçante, une intrigue mal exploitée mais une écriture addictive. Je conseille ce roman à ceux qui n'ont jamais lu de dystopie. Par contre, si vous cherchez de l'innovation dans ce genre, ne vous tournez pas vers cette saga. 

Note : 3/5

à dans une prochaine chronique,

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